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All roads lead to rum… or to jail… [Myrcezra]
New Orleans Institute :: Territoire neutre :: Bourbon Street :: Pray On Bourbon


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Jeu 30 Juil - 0:27
All roads lead to rum… or to jail…
Ezra-Yan ft Myrcella.
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Ironiquement, Ray avait toujours été très doué pour s’faire des amis. Sans doute était-ce grâce à son flegme anglais qu’il tenait d’son père, ou bien dû à l’exotisme d’ses très, très, très […] très lointaines origines serbe venant d’sa mère… Ou peut être son p’tit côté brut de décoffrage, typique des habitants d’Floride… Une question fort mystérieuse ! Sans doute que l’gonze, rencontré c’matin dans l’tram, aurait eut la réponse. Son bigophone n’avait pas trop apprécié qu’il test sa solidité, coincé entre pouces et index, réduit à l’état d’puzzle d’un mouvement sec des poignets. Ça c’était pour… il n’savait plus trop quoi d’ailleurs. Sans doute pour un sombre mal d’carafe, dérangée. Ou p’t’ être bien sa satisfaction personnelle d’passer une meilleure fin d’journée qu’son voisin d’infortune, et sans doute une bonne soirée, qui s’annonça d’jà sous d’bons augures. D’ailleurs, était-ce matin ou hier … ?
Cependant, si on lui avait dit au réveil, avec qui il s’retrouverait à tailler l’bout d’gras au bar… ben p’t être bien qu’il l’aurait cru… C’qui n’aurait pas été l’cas, si en plus on lui avait dit qu’le lièvre d’Mars aimait l’thé.



Mais c’n’était pas vraiment c’qu’on lui avait prédit, lorsqu’il avait daigné s’lever c’matin, vers quinze heures quarante-cinq, l’pas trainant et la gueule enfariné d’ses beaux jours. Ray n’fit même pas attention à son coloc’, occupé sur il ne savait quel jeu, son radar s’trouvant dirigé vers l’seul et unique endroit qu’son cassis pouvait programmer au saut du pieux : la cuisine. L’blond profita d’la courte accalmie octroyée par une planque de choix, pour pivoter la cafetière vers lui.
- « Tu finiras par crever seul, au fond d’ton pieux, fusionnant dans ton matelas avec tes propres sécrétions corporels. Qu’il lui prédit, sans tour d’chauffe, constatant l’heure avancée d’la journée qu’il était.
L’destinataire s’arrêta dans son élan devant c’te véridique vérité. Levant les mires vers l’plafond, son tarin suivit. S’il avait su, il aurait oublié d’se lever, rien qu’pour voire c’te prophétie s’réaliser plus vite.
- T’as lu ça dans tes feuilles de thé, madame Irma ? Qu’il demanda, en avisant la tasse vide trônant sur la table basse, d’une voix rendu rauque par des cordes vocales peu éveillées.
Transportant son poids sur ses talons, il balança ses bras pour faire pivoter sa carcasse puis s’planta à côté d’son ami. Sans préliminaire, il attrapa l’élastique d’son short, ainsi que d’son caleçon et baissa l’tout.
- Et tu lis quoi, dans mes boules d’cristal ?
Tomas jeta un dernier coup d’œil à l’écran, prit la peine d’poser la manette sur ses genoux, puis s’pencha par-dessus l’accoudoir, pour mieux observer les objets d’divinations ainsi présentés.
- Qu’à se train là, tu vas finir par t’perdre dans l’bayou. Qu’il annonça, après avoir fait semblant d’réfléchir.
Ray dodelina du chef, faisant une légère moue, comme s’il avait du mal à digérer l’info. Réajustant finalement ses nippes, il reprit l’chemin d’la cuisine - sa tête continua son mouvement d’balancier comme s’il était un d’ces clebs à l’arrière des voitures - où il s’attela à la lourde tâche de s’faire un kawa. C’est qu’il était fort ce con…
- Ben la prochaine fois, tézigue liras la ligne d’ma raie, j’serais fixé. Qu’il lâcha en même temps qu’la dosette et son contenu dans l’filtre, suivit d’un juron.
- Mais j’ai pas b’soin d’la voire pour lire en toi, Ray ! Et de t’apprendre qu’à l’avenir, tu resteras un éternel trou du cul !
Ok… Là c’était mérité et surtout d’une vérité sans pareil. Claquant l’couvercle, Orchard laissa échapper un rire et partit à le recherche d’son ingrédient pas si secret qu’ça, pour un kawa-réveil digne de c’nom !
- Ben mon salaud, j’espère qu’t’as pas mit trois ans à t’en rendre compte. Et encore heureux qu’on t’paye pas pour tes prédictions à la mord moi l’nœud…
- Mais justement… C’est bien pour ça qu’on est coloc’ ! Entre nous y a plus de res-pet !
Une explosion retentit à travers l’appart’, suivit d’un flot d’jurons d’la part du blond. Mahiingan releva la caboche, les étiquettes dressées, comme si ça venait d’se passer pour de vrai, puis observa la manette atterrir sur la table, glisser sur toute sa largeur, pour rencontrer l’sol. « Game over » s’afficha à l’écran, un peu comme un magnifique doigt d’honneur.
- T’as déverrouillé l’succès "blague de merde" ? Et l’karma a voulu qu’ça t’pète à la gueule ? Se hasarda un Ezra-Yan moqueur, claquant une bouteille sur l’plan d’travail et s’releva comme si elle était un point d’encrage fiable.
Mais Tomas n’rit pas. Perdre à un jeu en ligne le f’sait rarement rire, en tout mauvais joueur peu fair-play qu’il pouvait être parfois. Pour ne pas dire souvent. Même si, compte tenu d’l’énergumène avec lequel il vivait, on pouvait aisément le lui pardonner.
- Je… m’en… NUIS ! Qu’il se mit à beugler, sur la dernière syllabe comme s’il était en plein exorcisme, renversant la tête en arrière sur l’dossier. Ça t’dit pas qu’on sorte ce soir ? Ça fait longtemps qu’on n’est pas sortie, tous les deux. »
Très juste… Remarque la dernière fois qu’ils avaient fait une soirée tous les deux, et bien… Etrangement, le lycan n’arrivait même pas à se souvenir de c’qui avait bien put s’passer. C’était à peu près comme ça à chaque fois. Un véritable remake de Very Bad Trip. Mais est-ce que ça les empêchais de récidiver ? Pas l’moins du monde.

….

Le Pray On Bourbon s’trouvait être un endroit d’débauche, comme il les appréciait tant et où il était toujours facile d’s’amuser, en toute impunité, dans son cercle. Les mêmes règles qu’le fight club s’y appliquaient et c’n’était pas plus mal, pour tous ces habitués.
La soirée battait son plein, enivrée par la musique entêtante, l’alcool et bien d’autre cocktail pas que liquide… Le business était également bon, Ray avait réussis à écouler tous ses fonds d’tiroirs de p’tite pilule du bonheur. Le loup s’était aussi fait d’nouveaux clients, même si dans c’milieu c’terme s’trouvait être un peu relatif. D’ailleurs, en voyant un gusse glisser ses lèvres dans l’cou d’une jolie gazelle, l’dealer se d’manda si y aurait pas un marché à s’faire du côté des buveurs d’jus d’tomate. En leur revendant des poches de camés et autres poivrots notoire. Mais vu la logistique qu’ça réclamerait, sans compter l’coup matos… Puis l’fait qu’ça finit toujours par s’dissiper avec le temps, donc pas moyen d’stocker… Mouais, il aurait plus vite fait d’apporter directement l’producteur au consommateur, que d’se faire chier avec des prises de sang. Puis bonjour les chefs d’inculpations, s’il se f’sait serrer en plein deal… Mauvaise idée. P’tain la neige le f’sait toujours cogiter d’façon débile, ça en devenait chiant.
Une pogne sur son épaule l’tira d’sa torpeur, un verre arrivant dans son champ d’vision, qui fut d’un coup tout l’objet d’ son attention. Ses mires accrochèrent quelques secondes celles d’son coloc’, un peu plus loin, au bras d’une charmante brunette qui l’entrainait vers les carrées VIP. Il crut lire sur ses lèvres « On s’voit après ! ». Ou d’main dude… Quelque chose lui disait qu’sa Brunette, penchée sur son épaule, n’allait pas l’lâcher d’si tôt.

Un certain nombre d’temps plus tard et quelques canons, qu’son pauvre cassis n’arrivait plus à quantifier, elle éprouva l’besoin d’aller aux toilettes, et lui d’aller prendre l’air, s’promettant d’se retrouver au bar d’ici cinq minutes. Autrement dit jamais. Dans c’genre d’soirée ça finissait toujours avec quelqu’un d’autre.
Pour c’te fille, dont il n’avait même pas prit la peine de d’mander l’prénom – ou alors il l’avait d’jà oublié – la nouvelle compagnie en question, serait très certainement bien plus plaisante qu’la sienne. Ça c’était encore une prédiction véridique. Il devrait peut être écrire ces stupides biscuits chinois…

Tanguant sur ses cannes, En direction d’la porte du bar, Ray manqua bien rentrer en collision avec une mini tête blonde. Vrai qu’du haut où il s’trouvait perché sur ses semelles, l’homme pouvait être sûr d’la manquer. Il fut quelques instants fasciné par la façon dont les lumières jouaient dans ses cheveux clairs. Comme si des dizaines d’vers luisants f’saient une rave sur l’sommet d’sa cafetière. C’était très amusant. S’il continuait à les fixer, peut être que l’loup pourrait voir ses tifs danser au rythme d’la musique. C’qui le fit l’plus buguer, c’était l’odeur qui émanait d’elle, comme s’il l’avait déjà rencontré, mais sous une autre forme… Curieux.
Levant les deux paluches, en guise d’excuse, il baissa un index dans sa direction.
- « Hey ! Où qu’on va, pour en avoir des comme ça ? »
Evidemment, Orchard n’parlait pas d’sa belle paire, parfaitement mise en valeur par son haut, mais de l’encrage qu’il cru y voir sur sa peau, et qui lui disait furieusement quelque chose. Mais c’pas lui qui donnerait plus ample précision à blondie.


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Ezra-Yan Orchard
Ezra-Yan Orchard
Loup-Garou.Loup-Garou.
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All roads lead to rum… or to jail… [Myrcezra] Kru2

Ft. : Andy LaPlegua
Couleur paroles : #66cccc

Alignement : Neutre
Allégeance : à sa famille et ses amis proches. Sinon il reste très solitaire et indépendant.
Meute : Aucune. Il ne les porte pas particulièrement dans son cœur.
Armes : Un couteau à papillon, qu'il a tout le temps sur lui

Origines : Anglo-americano-slave. Il est natif de la ville de Gainesville en Floride.
Âge : 39 balais
Métier : Assistant mécano et éducateur canin
Résidence : En colocation dans le quartier du Fulton Street, avec son meilleur ami Toma Chatfield
Orientation : Hétéro, la plupart du temps...
Statut civil : Célibataire.
Généalogie : Il est le troisième d'une fratrie de quatre enfants.
Composé de l'aîné Shane, avec lequel ce n'est pas l'amour fou. Danny, le deuxième, qui l'a employé dans son garage. Kate (dit "K"), la cadette de 16 ans, vivant avec ses parents en Floride et adorant faire tourner ses frères en bourrique.
Anecdotes : Ray est natif de Gainesville en Floride ◙ Il a fait quelques séjours en centre de détention juvénile, en compagnie de Shane ◙ Son aîné ne l'a jamais suivit en taule, lui commence à bien connaître le concept ◙ Il a fait quelque séjour dans l'aile psychiatrique des prisons où il a séjourné, pour de violente agression à main nu contre détenu ◙ Il a fait partit d'un gang de bikers il y a quelques années en tant que Sgt at arms

Feuille de personnage
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Agilité:
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Mar 1 Sep - 0:15
All roads lead to rum... or to jail...
Le fracas du verre brisé résonna dans toute la pièce. Myrcella attendue un long moment, le temps que le bruit se taise définitivement. Puis, elle avait fixé les morceaux de verre éparpillés au sol comme si elle faisait face à une incroyable découverte scientifique. On aurait pu la confondre avec une statue si elle n’avait pas poussé un long soupir d’agacement. Le pas lent, la chasseuse d’ombre se décida enfin à nettoyer ses bêtises. Ce n’était pas vraiment le verre qui avait glissé de sa main, elle l’avait juste laissé tomber. Sans que la jeune femme puisse en avoir tellement conscience, sa main s’était ouverte et quelques secondes plus tard l’objet s’était écrasé par terre. La blondinette était dans un de ses mauvais jours, ces jours où tout son environnement constituait une source d’irritation profonde. Ces jours où même la plus grandiose des nouvelles n’auraient pu lui arracher le moindre petit sourire. Ça lui donnait la sensation d’être un de ces animaux qui hibernes dans sa grotte, elle ne voulait voir personne et encore moins être confronté au monde et à toutes les responsabilités que son métier lui imposait. Pourtant tôt ou tard elle devra sortir de son cocon. Cette perspective ne la réjouissait abso-lu-ment pas. La shadowhunter se laissa mollement tomber sur le lit en soupirant plus fort que la première fois. Tout en fixant le plafond, Myrcella se mit à énumérer tout ce qui aurait pu justifier le fait qu’elle soit d’une aussi mauvaise humeur, et bien sûr ça n’arrangeait rien. Mais à quoi bon? La jeune fille se redressa et sonda Reden du regard, il était occupé à asticoter deux lames séraphiques et rien au monde n’aurait pu le défaire de sa concentration. L’indifférence du brun agaça Myrcella davantage. À quoi bon être de mauvaise humeur si personne ne peut la supporter? La blonde éprouvait le besoin de partager son mécontentement auprès de son partenaire de chasse. Elle avait besoin qu’il soit son souffre douleur, qu’il subisse son mauvais caractère. La jeune femme émit une sorte de grognement qui était censé être un nouveau soupire. Or, cela ne déstabilisa toujours pas Reden : Myrcella ne savait pas s’il faisait semblant ou s’il était réellement ailleurs.
« Tu as l’air d’un lion en cage, déclara le jeune homme finalement.
- Je suis de mauvaise humeur, lâcha-t-elle acide. »
Le ton qu’elle venait d’employer eu le mérite de faire taire Reden définitivement, la conversation était morte avant même d’avoir commencé. Chose que la shadowhunter regretta.
« Tout m’ennuie, poursuivit la blondinette. Je suis dans une de ces périodes ou rien ne me fais envie.
- Sort un peu, répondit son ami subitement.
- Je ne veux pas voir du monde, tonna la jeune fille en regardant par la fenêtre.
- Bon alors reste ici et profite un peu du calme. La semaine était plutôt chargée.
- J’ai besoin de prendre l’air de temps en temps quand même, répondit Myrcella. Je vais devenir folle si je reste ici. »

Pour la première fois depuis le début de leurs conversation, Reden leva les yeux de la lame de son épée. Le jeune homme leva les yeux au ciel en soupirant. Les états d’âmes de sa coéquipière pouvaient le rendre dingue. C’est comme si elle lui demandait de choisir entre rouge et bleu : s’il répond bleu alors il est certain qu’elle dira rouge et s’il l’appuie dans son idée, celle-ci changera d’avis aussitôt. Parfois il se demandait si son objectif n’était pas juste de le rendre malade.
« Eh bien fais ce que tu veux Myrcella, lâcha-t-il enfin, mais fou moi la paix s’il te plaît. »
C’est là que, après un nouveau soupire, la jeune femme se décida à quitter la vieille église pour ‘‘prendre l’air’’ et laisser Reden s’extasier devant son armurerie toute entière.

Elle déambula dans les rues de la Nouvelle-Orléans sans vraiment savoir où elle allait. S’était une belle ville tout de même, une ville fascinante. Myrcy s’arrêta dans un parc, il lui fallait un endroit calme. Sa mauvaise humeur lui demandait trop d’énergie et elle devait récupérer un peu. La chasseuse d’ombre s’allongea dans l’herbe bien que celle-ci soit humide, ça ne l’a dérangeait pas tellement. Elle contempla les nuages gris qui masquaient le bleu magnifique du ciel lors des après-midis ensoleillés. Le temps était plutôt bon malgré l'humidité qui planait dans l’air. Il n’y avait pas un chat dans ce parc, chose rare, mais en même temps pourquoi aller au parc lorsqu’on sait qu’il y a un potentiel risque qu’il pleuve ?
Le doux clapotis de l’eau lui permit de se détendre enfin, son esprit était complètement vide. Et sa mauvaise humeur avait finit par se dissoudre comme portée par les écoulement de l’eau. Puis, ses pensées avaient fini par s’élargir et d’un instant à l’autre c’est comme si elle n’était plus là. Si bien qu’elle ne réaliserait même pas que l’après-midi venait de s’achever si les quelques rafales de vent qui lui griffaient la peau ne s’en étaient pas chargées. Malgré tout, Myrcella ne voulait pas rentrer chez elle. Elle était encore tellement bien dehors. La jeune fille traîna les pieds en quittant le parc et, marcha un long moment jusqu’à ce que l’odeur de l’alcool mélangé à celle de la cigarette ne viennent chatouiller ses narines. Une musique assourdissante retentissait depuis un bâtiment. elle ne savait pas où ses pieds l’avaient mené mais ce n’était pas chez elle. Pourquoi n’irait-elle pas prendre un verre? Mais alors qu’elle s’avançait vers l’intérieure du Pray Bourbon, la jeune fille entra en collision avec un type. Celle-ci du se reculer d’un ou deux pas pour voir à qui elle avait réellement à faire. S’était un grand mec baraqué aux nombreux tatouages. Cela l’amusa, il aurait pu être un de ses fameux clichés anglais il ne manquait plus qu’à son style une pinte de bière à la main. Quoiqu’à en juger par l’odeur qui émanait de lui, Myrcella ne doutait pas qu’il s’en soit déjà empilé.
« Hey ! Où qu’on va, pour en avoir des comme ça ? »
Il venait de parler mais Myrcella était déjà concentrée sur autre chose. Elle pencha la tête sur le côté en se demandant de quoi il aurait l’air avec un costume cravate. Cela eu le mérite de la faire sourire et maintenant la jeune femme se demandait s’il n’était pas plus sage de l’ignorer. Mais quelque chose l’a poussa à rester et à taper la discute. Croisant les mains derrière son dos, la blondinette se décida enfin à lui répondre avec son plus bel accent anglais :
« Ils vous plaise ? J’aurai plutôt pensé que les têtes de mort soient plus dans votre style.»
Elle avait dit ça sans vraiment réfléchir. Mais la scène aurait pu être amusante de loin, à côté de ce géant elle était ridicule.
« Si vous me dépannez d’une cigarette je peux vous payer un verre
Ça aussi elle l’avait dit sans trop réfléchir. Elle s’attendait presque à ce que l’homme lui ricane au nez et lui dise d’aller jouer avec une poupée et de laisser les adultes entre eux. Et en observant mieux la façon dont ses pupilles se dilataient, Myrcy se demandait s’il n’avait pas consommé d’autres substances.
Codage par Libella sur Graphiorum
Myrcella Devereux
Myrcella Devereux
Shadowhunter.Shadowhunter.
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Ft. : Julie Benz
Alignement : mauvais
Allégeance : Jim Nightingale
Parabatai : aucun
Armes : Pocket staff portable (bâton en métal rétractable)

Origines : anglaise
Âge : 21 ans
Métier : chasseuse d'ombre
Résidence : institut
Orientation : hétérosexuelle
Statut civil : célibataire
Généalogie : °Jasper Devereux / père
°June Marvolo / mère
° Sibylle Mc'Darcy / tante
Anecdotes : ¤ Myrcella est une dessinatrice hors pair mais également une bonne pianiste!
¤ Elle ne connaît pas ses véritables parents
¤ adore les chapeaux
¤ a horreur des fausses fleurs


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Dim 13 Sep - 0:04
All roads lead to rum… or to jail…
Ezra-Yan ft Myrcella.
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Le son d’la boite était un peu trop insistant à ses esgourdes, malgré les bouchons qui les obstruaient. Et l’envie d’dépasser son nouvel obstacle, pour goûter un peu d’air frais, s’faisait de plus en plus pressante. Faut dire qu’il n’s’attendait pas vraiment à une réponse d’la part du nain de jardin. Puis avec le r’gard implicitement rivé sur ses courbes, la seule réponse qu’il s’attendait à r’cevoir ressemblait de loin à un « va t’faire foutre ! ». Même si la population féminine du Pray on Bourbon flatterait plutôt leur égo d’un : « nulle part, c’est naturel ».
Pas désolé, mais quand on a l’habitude d’naturellement dominer son monde, et d’passer son temps à devoir baisser l’regard, fallait bien qu’il s’ancre quelque part. Puis il n’était rien d’autre qu’un homme après tout… Surtout un homme torché. Pas encore suffisamment, pour savoir toujours marcher droit, ceci dit.
Cependant elle était vraiment trop mignonne la lilliputienne, pour qu’il passe son chemin aussi rapidement. Les gens petits lui faisaient toujours l’même effet, qu’un gosse en face d’un hamster joufflu : il avait une envie irrépressible d’leur tirer les joues.  
D’ailleurs, tout dans son attitude lui indiquait qu’son nouveau surnom d’lilliputienne n’sera pas usurpé, lorsqu’elle plaça ses mains dans son dos, mettant un peu plus en avant ses attribues. Ses sourcils s’froncèrent, l’videur lui avait piqué sa sucette pour la laisser entrer ?

Perdu dans ses réflexions, Ray faillit louper la réponse questionnante… S’il lui plaisait ? Borf… il en avait vu d’toutes les tailles… d’toutes les formes… Mignon, mais sans plus ! Attends… Bah non, visiblement l’esprit d’la blondinette n’était pas aussi tordu qu’le siens, qui dérivait totalement d’son sujet principal. Il n’était absolument pas question d’loches… M’enfin !
Croisant les bras sur son torse, sa senestre partie gratter les poils d’son menton, tandis qu’son tarin s’dressait vers l’plafond. Comme si celui-ci allait lui apporter la réponse par signaux lumineux, qu’seul  son propre cassis, trempant au bain marie d’cinq alcools – au moins – pourrait lui offrir. P’t être demain.
Seulement, l’homme regretta bien vite son mouvement d’carafe vers les sommets. La limite verticale du bar disparaissait sous un jeu d’éclairage aux couleurs vives, vibrant et clignotant au rythme de c’que les gérants avaient l’audace d’qualifier d’musique, qui auraient rendu n’importe qui épileptique. Reportant son attention sur sa nouvelle compagnie, ses paupières papillonnèrent. Putain, il y voyait presque comme à travers une pelle. Des plus ou moins ronds colorés brillaient dans son champ d’vision, enveloppant mini blonde comme si elle s’trouvait dans un champ d’luciole.
- « Non ! Qu’il finit par lâcher avec une extrême sincérité, d’un ton quelque peu bourru. J’pensais qu’la mode du "tribal", était cannée avec le style. Faut croire qu’vous êtes deux sur la tendance… »
C’est vrai qu’le roquet frisé avait les mêmes. Il était tombé sur une secte… ?
Ray n’prit pas la peine d’répondre à sa r’marque, quant à sa référence sur les crânes. L’pire c’est qu’à bien y réfléchir, il n’se souvenait même plus s’il en avait vraiment un. P’t être bin qu’ou, p’t être bin qu’non. Sans doute à un endroit peu visible pour lui. En vrai, il s’en foutait un peu…
Par contre, sa proposition d’une clope contre un verre fendit sa poire d’une feuille à l’autre. Elle n’perdait pas l’nord la p’tite.

Son r’gard dériva au d’ssus d’son crâne, comme s’il s’attendait à voir poindre son géniteur, qui lui donnerait la bénédiction d’aller encrasser les poumons d’sa gamine. Au lieu d’ça, il capta un gusse, qui semblait un peu trop intéressé par sa nouvelle compagnie. Sans doute le futal argenté en simili cuir qui lui faisait un tel effet. Ceci dit, il fallait avouer qu’il lui semblait bien plus assortit, à vu d’pif, en terme de taille et d’style.
Lui s’était contenté d’un simple jean noir, et d’un t-shirt sous son cuir, qui avait tout de même la particularité d’briller dans l’noir. Un t-shirt qu’lui avait offert sa frangine  il y a longtemps d’ailleurs, et qui lui avait valu, sur le moment, de manquer d’se faire arracher la carafe. Comme on fait sauter un bouchon d’champagne. Sous les lumières, on pouvait voir briller en encre bleu et violet néon un squelette de cheval. Qui en réalité s’trouvait être une licorne faisait la belle, rappelant les jets de cheveux des nanas dans les pubs pour l’Oréal…
Un vêtement particulier - que maintenant il adorait, au gram dam d’sa cadette – dont son propriétaire n’avait pas celle d’être prêteur. Offrant au gusse un regard signifiant « pas touche », le lycan posa une patte sur la caboche de lilliputienne, pour la guider d’où elle venait.
- « Deal, miss luciole. » Qu’il lança, en l’accompagnant dehors, tandis qu’des lumières clignotaient toujours dans son champ d’vision.

Une fois dehors, le loup renifla extirpant d’une d’ses bacreuses d’blouson, une petite boite cylindrique, dans laquelle il fit tomber ses bouchons d’oreilles. Juste à temps pour s’épargner la sourdine interne d’un rot particulièrement sonore. A l’instar d’la musique qui leur parvenait toujours. Se stoppant dans la fouille d’ses baguenaudes internes, un sourcil s’leva, puis rejoint son frère déjà froncé, dans un air concentré. Il s’prit à s’demander d’quel relent d’alcool il pouvait bien s’agir là, mais à ce stade Ray n’se souvenait même plus de c’qu’il avait bu. Bien qu’il pouvait mettre c’manque total d’considération pour la bienséance, face à la demoiselle, sur l’compte d’la bière… Ses épaules s’haussèrent. Comme si c’était vraiment important… Puis pas comme si elle s’trouvait à sa hauteur, pour s’prendre ses effluves éthyliques d’fond d’gosier dans l’tarin.
Ecartant les pans d’son vêtement, à la recherche d’la bonne baguenaude à huit centimètres, il révéla l’côté jour d’sa princesse licorne, affichant une magnifique robe assortit à ses crins bleu électrique et rose bonbon, dans un panache de fumée. Ça lui faisait penser à ces divas apparaissant sur scène, façon poseuse sexy au milieu des fumigènes, baigné d’projecteurs savamment tamisé. Une licorne drag queen quoi…
Pour sûr qu’ça détonnait avec son cuir, sa chaîne d’vélo attaché au futal et ces rangers plus couleur sale que daim. Qui lui donnait plutôt l’air d’rouler en Harley, qu’part l’godillot expresse, avec les nippes chipé à sa gamine. Un style tout à fait assumé !

Après une longue minute d’recherche, interrompu par ses réflexions existentielles, suivant son impolitesse dont il n’allait même pas s’excuser, la pochette à tabac fut enfin extirpée.
L’avantage des roulés, c’est qu’il y avait un potentiel plus réduit d’se faire taxer. L’fumeur en manque étant rarement patient qu’elles soient faites.
- « J’ai qu’des roulées. Qu’il signala, son dos partant à la rencontre du mur.
Comme s’il lui laissait vraiment l’choix d’toute façon. Si elle n’en voulait pas, ça en fera plus pour lui.
Extirpant une feuille, Ray pesta contre une brise qui manqua bien lui faire échapper.
- Ta grand-mère l’pet d’ciel ! » Qu’il lâcha dans sa barbe, réfléchissant à comment faire sans en perdre la moitié.
Ou poser son cul parterre. La terre est basse quand on est grand, merde ! Avisant Blondie, l’homme finit par lui coller sans gêne l’paquet entre les paluches, puis calant deux filtres entre ses lèvres, ses doigts farcirent habillement la première feuille, qui fut coller d’un coup de langue. Sûr qu’il n’faut pas avoir peur des germes et parfois l’loup prenait un malin plaisir à n’pas lésiner sur la bave, pour s’débarrasser d’quelques importuns. C’était un peu comme s’rouler une pelle…
Son briquet fut extirpé à son tour, un zippo laqué noir avec une gravure en relief de tête de loup, qu’il avait barboté y a longtemps à son grand père. L’ironie du motif sonnait un peu comme retour d’karma, sur sa condition d’hurleur nocturne…
Tapotant les filtres sur l’métal, pour tasser l’tabac, ceux-ci retrouvèrent leur place entre ses lippes. Le couvercle sauta du pouce, avant d’actionner la roulette qui libéra la flamme. Sa pogne libre la protégea du vent, tandis qu’il alluma les deux en même temps, tirant une longue bouffé d’ssus. D’un mouvement sec du poignet, l’allume feu fut refermé et la sèche présentée à la demoiselle, coincée entre pouce et index. Après ça, manquerait plus qu’ils partagent une bière directe au goulot et les voilà marié !

Remettant un peu d’ordre dans ses bacreuses, l’fumeur s’mura dans un certain mutisme. Il n’avait jamais su maîtriser l’art d’la conversation, souvent bien trop direct pour l’commun des mortels. Mais surtout qu’là, comme devait l’indiquer ses pupilles, il planait à un mille au dessus d’sa taille d’girafe. Et s’il n’était d’jà pas sur la même planète qu’les autres occupant du bar – pourtant quand même proche voisin – il n’était carrément pas dans la même galaxie qu’sa compagnie. Cependant, après quelques secondes d’silence, perdu dans la contemplation hypnotique d’la danse d’une autre fumeuse et d’sa copine, qui continuaient à s’déhancher sur la musique qui leur parvenait depuis l’extérieur, Ray s’décida à ouvrir l’bec.
Tentative avortée par une nouvelle tête passant la porte, dont il reconnaitrait la tignasse blonde entre mille. Même les yeux fermés. Il était si ébouriffé, qu’on aurait put croire qu’son crâne avait servit d’terrain d’lancement à une fusée. Son cou était orné d’un curieux vert à lèvre et sa joue d’paillettes. La vue d’Toma fit s’dresser un sourcil à son coloc’. Il s’était fait asperger par un farfadet ou bien ?
- « Pute vierge ! Y caille ! Qu’il s’exclama avec grand tact, ses pognes frottant ses épaules.
- Ça s’appel l’hiver, dude. Ta copine la fée t’l’a pas dit, avant d’tester ta baguette ? »
Interpellé, l’blond tourna vers lui un visage détendu, et des yeux ronds comme des soucoupes. Son exclamation, comme quoi il le cherchait, lui fit lever les mires aux ciels. A d’autre… Il était juste tombé sur une taré sous ecsta et cherchait un moyen d’s’en débarrasser. Pour changer…
Fronçant les sourcils à son tour, Toma prit conscience qu’son ami n’était pas seul, puis s’pencha pour observer l’spécimen. Si bien qu’il dû s’rattraper à l’épaule voisine, pour n’pas s’retrouver l’tarin sur l’bitume.
- « T’as r’ssortit ta p’tit sœur ? Qu’il railla, rappelant à son bon souvenir c’te folle soirée d’noël.
Ray n’répondit rien, s’contentant d’mêler la fumée d’sa clope à la brume qu’il exhalait. Toma causait toujours très bien pour deux… Puis reportant son attention sur la demoiselle, il lui adressa un sourire amusé.
- Au faite, moi c’est Toma. Et la grande girafe muette, c’est Ezra-Yan. Anticipant un éventuel air dubitatif, face à ce prénom peu commun, il ajouta, non sans une œillade moqueuse à la dite girafe. Mais appel le comme tu veux. Et toi, charmante damoiselle ?
Bah voyons… Qu’pensa Ray, affichant un air blasé, tout en secouant mollement l’chef. Il n’voulait pas non plus lui proposer une valse, une fleur coincé entre les ratiches aussi ?  Puis un coup d’coude, bien placé entre les côtes, l’tira d’sa rêverie.
- Tu vois, c’est comme ça qu’on fait ! »
Evidemment, depuis tout c’temps, son ami l’connaissait assez pour savoir qu’il n’s’encombrait jamais d’ce genre d’convenance qu’était les présentations. Inutile d’lui demander s’il l’avait fait. Surtout que, d’ici cinq minutes, Ray aurait déjà oublié son prénom…
La raillerie d’son coloc’ étira néanmoins un coin des lèvres d’son interlocuteur. Calant sa clope d’une patte entre ses ratiches, l’autre s’leva devant son visage, pinçant sa bouche entre pouce et index, pour lui clouer l’bec.
- « Tu vois… Qu’il finit par lâcher, amusé. C’est comme ça qu’on fait. »
Autrement dit, mec ferme ta boite à camembert. Bien qu’il savait pertinemment qu’le blond surfeur lui baverait joyeusement sur les doigts, pour l’ouvrir d’nouveau.

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Ezra-Yan Orchard
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All roads lead to rum… or to jail… [Myrcezra] Kru2

Ft. : Andy LaPlegua
Couleur paroles : #66cccc

Alignement : Neutre
Allégeance : à sa famille et ses amis proches. Sinon il reste très solitaire et indépendant.
Meute : Aucune. Il ne les porte pas particulièrement dans son cœur.
Armes : Un couteau à papillon, qu'il a tout le temps sur lui

Origines : Anglo-americano-slave. Il est natif de la ville de Gainesville en Floride.
Âge : 39 balais
Métier : Assistant mécano et éducateur canin
Résidence : En colocation dans le quartier du Fulton Street, avec son meilleur ami Toma Chatfield
Orientation : Hétéro, la plupart du temps...
Statut civil : Célibataire.
Généalogie : Il est le troisième d'une fratrie de quatre enfants.
Composé de l'aîné Shane, avec lequel ce n'est pas l'amour fou. Danny, le deuxième, qui l'a employé dans son garage. Kate (dit "K"), la cadette de 16 ans, vivant avec ses parents en Floride et adorant faire tourner ses frères en bourrique.
Anecdotes : Ray est natif de Gainesville en Floride ◙ Il a fait quelques séjours en centre de détention juvénile, en compagnie de Shane ◙ Son aîné ne l'a jamais suivit en taule, lui commence à bien connaître le concept ◙ Il a fait quelque séjour dans l'aile psychiatrique des prisons où il a séjourné, pour de violente agression à main nu contre détenu ◙ Il a fait partit d'un gang de bikers il y a quelques années en tant que Sgt at arms

Feuille de personnage
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