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Mer 13 Nov - 21:49
Welcome, Bienvenue
my dear
“ Un petit sous-titre descriptif ou une citation ”
Une petite légende.

Voilà bien des années, sinon des décennies que ceci n'était pas arrivé. Un partage de logement, où comme les gens appelle cela maintenant, une collocation. Disons simplement que chacun paie sa part privative de l'appartement, et les parties communes sont payées à cinquante pourcents pour chacun des deux partis. Dans ce cas, il semblerait que la cohabitation ne soit pas bien compliquée, d'un côté comme de l'autre Alaric ne serait probablement là que pour manger et dormir, pas de quoi semer la discorde, ou le désordre, bien au contraire.
L'Ordre, c'était ce qu'il fallait noter de plus important dans la vie d'une personne de plus de sept siècles d’existence. Savoir ranger, et catégoriser autant sa mémoire, que ses affaires pour ne rien perdre. Des lieux de stockage, de vie, qui parfois se mélangent, et d'autre non. Une chose était sûre, le dernier siècle était une avancée considérable dans l'archivage de données, surtout quand il faut archiver des siècles de contrats, et autres documents historiques ou magiques.

Voilà une belle journée en perspective. D'abord les rayons chauds du soleil réveillant le visage du sorcier de bon matin, le pied-droit posé en premier au sol lors de son levé, tout semblait annoncer une longue et belle journée. Les arômes à la fois doux et corsés de l'Arabica et des croissants au petit matin, provenant en direct d'un café parisien, c'était probablement un des réveils les plus agréables pour le sorcier. Un réveil sous une moelleuse couette en plume d'oie, et une température avoisinant les 19 degrés. Il ne manquerait plus qu'une compagnie, mais ce n'était pas au programme ce jour-là. Non, aujourd'hui, était prévu de visiter un appartement, pour enfin ne plus vivre entre Berlin, et la Nouvelle-Orléans, le voyage en portail matin et soir était rapidement fatiguant, surtout quand il fallait faire plusieurs allés et venus dans la journée, notamment quand il devait concocter des potions.

Vêtures, coiffure, il fallait se parer de ses plus beaux atours pour faire bonne impression, enfin probablement, les interactions sociales n'avaient pas été nombreuses dernièrement, donc une colocation était en quelque sorte un ultimatum à soi-même. Se pousser à parler, discuter avec quelqu'un jour après jour. Un jeune homme, c'était sans doute la meilleure idée, il ne chercherait probablement pas à chercher bien loin pour sa plastique, ou ses bibelots quelque peu saugrenus ; le fait étant que certains artefacts avaint besoin d'être au plus proche de l'être du sorcier en cas de soucis.

Voilà la matinée terminée, et l'après midi à peine entamé, une horloge afficherait probablement quatorze ou quinze heure, mais le facteur temporel de cette journée n'était clairement pas le plus important, la visite de l'appartement allait bientôt commencer, il n'y avait plus qu'à frapper à la porte, et attendre que quelqu'un lui ouvre, se présenter, et enfin, faire la fameuse visite. Il prendra au préalable une grande inspiration, puis, dans un élan, laisse ses phalanges frapper la porte à deux reprises, laissant probablement retentir un son clair et audible. La porte viendra probablement s'ouvrir plus tard, il faut savoir se montrer patient.

Ça va bien se passer, respire. se disait-il, dans ce qui semblait être d'avantage un murmure ou une pensée à voix basse plutôt qu'une tentative de dialogue.
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Jeu 14 Nov - 23:57
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Ft. Alaric Rebmann



Un soupir de soulagement m’échappa alors que mon regard venait de finir de faire le tour de l’appartement. Appartement aussi propre qu’un sous neuf, sans l’air neuf. Il faut dire que l’immeuble est vieillot, et ça s’entend à l’isolation – ou plutôt le manque d’isolation sonore. Enfin, heureusement, on était au dernier étage, rien ne s’entendait venant des habitations encadrant le bâtiment, et le voisin de l’étage du dessus était toujours en voyage professionnel. Vu le quartier, c’était un appartement très calme, et contrairement à d’autres, dans les normes de salubrité. J’avais beau n’en être que locataire, j’en était très fier, j’aurais tout aussi bien pu l’avoir construit de mes mains. A défaut, la décoration était principalement mienne, avec quelques restes de mes précédents colocataires. Des meubles de récupération, que j’avais réparé et, ou, repeint – j’avais l’avantage d’être doué de mes mains – confortables pour la plupart, avec un goût prononcé pour les couleurs. L’artiste en moi s’était lâché, et la cuisine ouverte, dans les tons rouge orangé et gris, se fondait dans les verts, jaunes et beiges du salon, le tout illuminé par les larges porte-fenêtre qui ouvrait sur la balcon côté rue. Le salon lui-même ouvrait sur le couloir bicolore, pomme et saumon qui le séparait des chambres, avec la petite terrasse commune donnant sur la cour. La salle de bain – au bout du couloir, à l’opposé de l’entrée – elle était toute en nuances de bleu, j’avais refait la peinture récemment. Tout comme dans celle de la chambre d’ami dont j’avais enfin réussi à débarrasser de toute trace de l’ancien habitant. N’ayant aucune connaissance des goût du prochain colocataire, je m’étais contenté de peindre en blanc cassé et taupe, des couleurs neutres comme il se devait. A l’opposé de ma chambre, qui avait suffisamment de couleurs pour faire pâlir de jalousie un drapeau LGBT. Même la buanderie – une pièce ridiculement petite – avait le droit à sa décoration avec des murs blancs pour « l’agrandir » mais des dessins noirs, dorés et argentés : des instruments de jazz, des écrevisses, des fleurs de lys, et d’autres symboles et images qui faisaient référence à la Nouvelle-Orléans et la Louisiane. Dans le cagibi, oui, c’était bizarre m’avait-on dit. Moi j’aimais bien, alors pourquoi pas. Seule la « troisième » chambre était dénuée de décoration, faisant office de chambre noir, la fenêtre en était d’ailleurs bloqué et complètement couverte. Cette dernière pièce avait l’avantage de faire une séparation sonore entre ma chambre – la plus proche de la sortie – et l’autre chambre – plus proche de la salle de bain.

En l’instant, tout était propre et rangé, j’avais passé la matinée à rendre irréprochable mon petit chez moi. Enfin, plutôt la fin de matinée. Parce que j’avais travaillé tard la veille, et que je n’avais pas pensé à mettre de réveil ce matin. J’avais dû mettre le turbo, pour finir à temps pour la visite de l’après-midi. Heureusement que ma maison était déjà plutôt propre de base. Ce serait bête de perdre un possible colocataire sur un malentendu. Certes, j’avais l’habitude de recueillir des animaux – et de nourrir les chats errants et oiseaux du quartier – mais je ne laissais pas la crasse régner pour autant. C’est donc tout prêt à recevoir, et à faire la meilleure impression possible, que j’attendis mon visiteur, qui avait dû trouver une de mes petites annonces – en ligne ou ailleurs – de proposition de location. Quelques sms plus tard, et un rendez-vous avait été pris pour ce début d’après-midi pour qu’il puisse venir se faire une idée des lieux – et emménager si ça lui plaisait. Un léger bruit à la porte m’annonça d’ailleurs bientôt l’arrivée si attendue, et je refermais la porte de ma chambre derrière moi, pour aller ouvrir celle de l’entrée. Derrière mon invité se dessinait la cage d’escalier qu’il avait dû gravir pour arriver jusqu’ici. A moins qu’il n’ait volé ? En effet, à ma grande surprise, des ailes noires dépassaient du dos d’un jeune homme brun aux yeux à l’instar d’un ciel étoilé. Je ne montrais rien de mon étonnement – j’avais de l’expérience pour ça – alors que mes doigts me démangeaient de prendre mes pinceaux pour immortaliser ce regard. Qui devait d’ailleurs déjà être immortel vu que son propriétaire devait être un sorcier. Mais au lieu de le confronter – franchement ça aurait été malpoli – je lui souris et lui proposai d’entrer : «Bonjour ! Bienvenue, je t’en prie, viens. ». Je reculai pour lui laisser le passage libre et le guidait vers la porte déjà ouverte sa droite, qui menait vers le salon. Après avoir fermé la porte d’entrée, je continuai : «Je suis Jaxon Guidry, mais tout le monde m’appelle Jax. J’espère que tu n’as pas eu trop de difficulté à trouver. ». J’espérais qu’il ne prendrait pas mal le fait que je le tutoies dès le départ, mais si nous devions vivre ensemble à l’avenir, autant en prendre l’habitude.

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Ven 27 Déc - 19:31
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“ Un petit sous-titre descriptif ou une citation ”
Une petite légende.



Oublier de prendre un cadeau.. Non franchement, ce n'était pas raisonnable. Un mouvement de poignet avant l'ouverture de la porte, et une boite de chocolat tout droit venue de suisse apparait dans sa main, ainsi il serait plus convenable d'arriver à ce rendez-vous, même si ce n'est -que- pour une collocation. Un frisson traverse son corps méticuleusement, passant le long de ses vertèbres, cela venait sûrement d'un courant d'air créé par de fenêtres, ou des portes ouvertes. L'aération était tout de même un élément clé de l'odeur décente dans une maison, ou un appartement, alors c'était un bon point.

Voilà la porte qui s'ouvre enfin, on peut dire que le cœur du sorcier bat un peu plus rapidement, un stress certain s'empare de lui, qu'il parvient tout de même à contenir assez rapidement. Sans même avoir passé le seuil, la porte ou que sais-je expression sur l'entrée dans une pièce, ou une maison, il sentait déjà une chaleur humaine, et animale se dégager des lieux, ce qui était un bon point, sans nul doute. Il fallait dire que si un froid s'installait d'office, c'était autant de ne pas venir, ou du moins entrer, et prétexter quelque chose d'urgent à faire. Non, à vrai dire cela avait l'air d'aller, même si la présentation ne serait que forcément un peu bizarre, il allait sans dire que les deux hommes pourraient, à première vue, assez facilement cohabiter.

- Je.. euh merci

Voilà qu'il se mettait à bégayer... Il était clair que la gêne n'était que présente, ces années passées en ermite l'ont rendu presque associable,  mais de là à bégayer pour si peu.. C'était un peu triste, surtout pour un sorcier de son gallon. Peut-être fallait-il qu'il se remette en-jambe, ou du moins qu'il ne se réhabitue à la vie sociale, en attendant rien n'était moins sûr qu'il avait franchit le pas de la porte, et qu'il ne pouvait plus faire marche arrière. Tendant le bras à son interlocuteur pour lui offrir la boite de chocolat, il finit finalement par avoir la décence de se présenter Je suis Alaric, Alaric Rebmann. un temps de pose s'observera forcément, puis il reprendra non ça a été, j'ai un bon sens de l'orientation, finit-il par sortir, en soupirant d'aise, comme si l'atmosphère se détendait.



La porte refermée derrière lui, la visite pourrait bientôt commencer ça respire l'affection, et les chats, j'adore les chats. fit-il remarquer, avant d'emboiter le pas du terrestre face à lui. Tout semblait si ouvert et grand, cela changeait des quelques demeures qu'il avait pu avoir dans le passé, mais là était le plus simple : repartir de zéro, du moins pour un temps, les biens emmagasinés, avaient été gardés bien précieusement dans des lieux cachés de tous. A présent restait à savoir comment allait se passer ce partage d'habitation des plus  fragile, magie et terrestres, un mix qui pourrait vite tourner au cauchemars, à voir si des barrières seraient  bien simples à ériger alors qu'un Terrestres vivait à quelques centimètres, sinon des mètres, et pourrait voir, ou entendre.

Le fait étant que son existence, et le voile entre le monde obscur et le monde des terrestres se devait d'être respecté, même si pour cela, il fallait mettre sa vie en danger.
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