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Puisque je vous dit que c'est un malentendu! [libre]
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Sam 9 Jan - 22:16
Puisque je vous dit que c'est un malentendu!C'est le soir, je suis de sortie, eastpack au dos, patins aux pieds et caméscope numérique à l'oeil. Pour ça les rollers d'ailleurs. Ils permettent de créer un autre rythme que celui de la marche, plus adapté à une aérienne "petite fée". Les plans où j'apparais ont déjà été tournés en studio, là j'ai juste besoin d'images vidéos pour illustrer mon propos. Et même si le son est coupé sur mon appareil, je continue mon laiüs, qui me permet de garder le rythme.

Nous sommes à Bourbon Street, à la nouvelle Orléans, la 'ville qui ne dort jamais', capitale du jazz... Et du Vaudou. Oui, oui, le vaudou, vous savez les amis de l'au delà de la princesse grenouille? Ce vaudou là, et l'autre origine, moins connue... Du vampirisme. Alors l'origine la plus connue, pour ceux d'entre vous, humains, qui la connaissez pas, j'en parle dans cette vidéo. Et je vous avais déjà légèrement parlé du vaudou lors de mon exposé sur les zombis. Aujourd'hui on s'intéressera plutôt à cet emblématique personnage, qu'est le Baron Samedi.

C'est pas pour rien si j'ai programmé ma viré vidéo ce soir. En effet il y a une exposition au musé sur le vaudou, et une parade inaugurale avec char et personnage aux masques de papiers mâché. En finissant mon petit texte, j'ai d'ailleurs fait un gros plan sur le représentant de l'emblématique baron. Et pendant une demi heure, dans le musée proprement dit, ouvert en nocturne, je profite de ce que la plupart des touristes soient plus intéressés par la parade dehors et les bars et cafés pour filmer tranquillement les pièces de l'exposition dont j'ai besoin (avec autorisation du conservateur, puisque c'est pas des trucs précieux comme la joconde), et poursuivre mes explications. Quand je ressort, j'ai l'icone de la carte SD qui clignote sur l'écran de ma caméra, signalant que sa mémoire est pleine. Et occupée que je suis à sortir, tout en roulant au pas entre les passants, la dite carte, je ne prête pas vraiment d'attention aux cris derrière moi, au sujet d'un voleur. Franchement, des pickpockets y en a tous les jours, ici, et si les touristes se font avoir, ben... Tant pis pour eux? Les voleurs aussi doivent manger! Et j'ai été de leur côté, pas moi qui les jugerait. Par contre, quand je suis bousculée violemment laissant échapper le fruit de plusieurs heures de travail, là je gueule. Et je me jette à terre pour retrouver mon bien. Mon camescope, c'est bon, le porte monnaie, on s'en fout,  ma car... Attend depuis quand mon caméscope il est noir et pas gris, et il est où l'autocollant hello kitty?! Et ma carte, elle est où dans cette bousculade?! Pas le temps de tout comprendre, je me fais literralement attraper par le col et traiter de... voleuse?!

Mais ça va pas la tête?! C'est pas moi!

Ne mets pas une claque à cet imbécile... Je sais que j'ai la puissance pour, mais y a des témoins, merde... Et j'arrive pas à initier un contact visuel pour l'hypnotiser ce crétin!

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Dim 31 Jan - 22:56


Puisque je vous dis que c’est un malentendu !

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Depuis son passage dans l’sous-sol du Hell Bells, sa rencontre avec l’aut’ p’tite bite - dont l’prénom n’voulait définitivement pas entrer dans sa sale caboche - fallait avouer qu’Ray y passait beaucoup d’son temps libre. Et ça n’lui était pas venu à l’esprit d’en parler à Toma. Son coloc’ n’s’trouvait pas être un grand féru d’la violence gratuite, bien qu’il s’en donnait à cœur joie sur ses jeux vidéo. Cela dit, l’homme savait parfaitement faire la différence entre l’réel et l’virtuel. Et s’il était un crack à l’écran, dans la vrai c’était autre chose. Par l’passé, Toma l’avait déjà vu rentrer dans des états pas possibles, avant sa transformation, il savait donc parfaitement c’qu’il faisait. Mais jamais l’blond n’avait émis l’souhait d’y assister. Puis bon, ils partageaient un loyer, ça n’faisait pas d’eux des hommes mariés. Cependant, ça n’l’avait pas empêcher d’lui reprocher leur non sorti, telle une casse burne de p’tite amie jalouse. Bien que c’te demande fut visiblement quelque peu motiver par la parade, qui devait passer c’soir à Bourbon Street. Pour c’que l’loup en avait à cirer, franchement…
C’genre d’manifestation n’sonnait pour lui qu’comme un immense bordel d’baroufle lui vrillant les tympans. Mais soit… d’toute façon, c’genre d’soirée s’finissait souvent, avec l’un et l’autre s’perdant dans leur trip respectif, pour partir chacun d’leur côté.

Et ça n’avait pas franchement loupé… Toma avait trouver son goût dans l’feu des boucles d’une superbe nymphette, comme il savait toujours les aimer, tandis qu’le flaire lupin l’avait conduit vers d’autres horizons. Bien plus sombre… P’t être un plus cliché pour l’enfant d’la nuit qu’elle était. Ça lui rappelait un peu Halloween, et c’te chair bouillante, pendant au bras d’son vampire préféré. Sans doute l’aurait-il lui aussi apprécier…
Puis, qui a dit qu’Lycan et Vampire n’pouvaient pas s’entendre, en une harmonie parfaite d’corps et d’esprit ? L’exception d’son duo comique avec Kurt confirmait parfaitement la règle. Bien qu’tout deux n’partageaient qu’l’esprit.
En c’qui concernait la jolie vampirette à son côté, ils étaient bien partis pour échanger pas mal d’chose… La belle avait été quelque peu surprise d’se faire cueillir au Pray on Bourbon par une bête, s’servant comme messager d’un bloody mary d’son cru. Trente neuf ans d’âge, s’il vous plait ! Un goût fortement corsé, mais qui savait faire décoller du sol ! Un cocktail que c’charmant papillon d’nuit avait su grandement apprécier.

Les voilà maintenant poursuivant leur soirée, bras dessus, bras dessous, l’iris disparaissant sous d’large disques d’ébène, qui observait la nuit sous un angle nouveau. Ils avaient abandonné sans aucun scrupule, l’couple d’terrestre, qu’ils retrouveraient sans nul doute là où Toma souhaitait s’rendre à la base.
Papillons dans l’buffet et cassis en ébullition, l’un comme l’autre n’avait pas l’air d’savoir où leur soirée allait s’finir. Sans doute chez elle, pour éviter la grillade au petit dej… Mais là n’était pas la question, car la nuit n’faisait qu’commencer.
L’prénom d’sa compagnie, pour une fois, Ray n’risquait pas d’l’oublier. NaTalIA ! nATaliA… Celui-ci dansait devant ses mires, vif et sulfureux… Ou s’retrouvait à virevolter, aussi léger qu’une feuille prit dans une tornade. Là encore, il rebondissait sur l’mobilier urbain et entre la foule, comme un lapin avec une fusée coincé dans l’cul. Quand il n’ressemblait pas à un banc d’saumons sauvage, bondissant pour remonter l’courant… Il s’parait d’couleur aussi vive et fluorescente qu’des néons.
Son regard l’suivait dans tous les sens, l’forçant parfois à pivoter sur lui-même, entrainant sa partenaire dans une danse euphorisante. Tandis qu’autour d’eux, les sons lui parvenaient comme s’il avait la tronche dans un aquarium. Le brouha d’la foule s’élevait au-dessus d’sa caboche, éclatant en cercle, à l’image des ondes à la surface d’l’eau. Lui faisant relever l’tarin pour mirer les circonvolutions s’dessinant au-dessus d’eux. Son bras s’levait d’temps à autre pour en suivre l’mouvement, jusqu’à c’qu’ils disparaissent, un sourire fendant sa poire.
La musique qui s’échappait des différents lieux, qu’le couple d’enfants d’la nuit croisaient, serpentaient en des formes colorées, qu’il n’saurait décrire. Mais pouvant sans doute s’apparenter à un électrocardiogramme. Les odeurs, quant à elles, explosaient en feu d’artifice.
Son champ d’vision s’trouvait être un festival d’feu et d’couleur, qu’sa compagne devait partager, à en juger par son expression aussi émerveillé qu’la sienne. Deux gnards un soir d’noël, déambulant dans les rues de la Nouvelle-Orléans. Deux gosses avec un haut potentiel de destruction massive, ceci dit…

Son épaule se heurta à la sienne, la fraicheur d’sa carcasse gracile contrastant avec la chaleur qui l’envahissait, l’alcool palpitant dans ses veines, au rythme des battements d’son organe pompeur. C’était d’ailleurs étrange de n’pas entendre celui qui s’trouvait juste à côté d’lui, alors qu’tous les autres pouvaient largement rivaliser avec un show des Tambours du Bronx.
Leur regard s’croisèrent, puis la belle métisse tendis un doigt verni d’noir vers l’bas d’la rue. Là où l’agitation s’emblait particulièrement régner, dans c’regroupement d’gonze, qui lui sembla être une masse informe d’bras et d’jambes. Une sorte d’hydre raccourcis.
- « J’ai l’impression qu’la parade est par-là. Qu’la vampire lança d’une voix qui lui semblait surréaliste. Y a sûrement de quoi s’amuser encore un peu. »
L’sourire qu’elle lui lança fit monter quelques pulsions en lui, et sans doute fumer ses étiquettes. Ezra-Yan n’partageait pas vraiment son avis, mais le « encore un peu » sonnait comme une trop belle promesse, pour aller la contrarier.
Cependant, arriver dans la place, l’homme n’avait pas vraiment saisit son contexte d’s’amuser, jusqu’à qu’elle n’fasse battre contre sa joue mordorée, un billet d’cent dollars. Habillement tiré d’la poche d’un type qu’elle venait juste d’croiser. La belle avait les pattes drôlement habiles et c’genre d’jeu l’amusa grandement. Bien qu’il n’put s’empêcher d’porter une pogne à son propre larfeuille, pour vérifier qu’il s’trouvait toujours au bout d’sa chaine. Au final, heureusement qu’ses bêtes-là n’pouvait pas sortir l’jour. Cambrioler une banque serait pour eux un jeu d’enfant !
L’loup la regarda opérer, virevoltant entre les corps comme une ballerine, jusqu’à c’que la rumeur d’un pickpocket n’vienne à monter. Natalia échangea un regard particulièrement amusé avec son complice, porta une main à ses lèvres, faussement coupable. Finalement, ils s’éloignèrent d’leur dernière victime, gloussant comme deux écolières, abandonnant l’larfeuille - délesté d’son liquide - sur l’pavé.

Un peu plus loin, quelque chose qu’il n’avait pas vraiment vu le heurta. Ray s’tourna juste l’temps d’voir c’qui ressemblait à une gamine montée sur roulette, faire un splendide vol plané. Un léger rire moqueur s’échappa d’sa gorge, en la voyant par terre. Elle avait perdu sa poupée dans la bataille ? A son côté, la vampire jeta un coup d’œil sur la cause d’sa moquerie, puis lui lança un regard dédaigneux en flairant son odeur. Tiens donc… elle avait rétrécie au lavage celle-ci ?
- « Qu’est-ce t’en pense ? Qu’il lança à sa conquête. Dix sur dix pour l’vol, trois sur la réception, peu mieux faire…
- Je pourrais toujours lui donner une note pour être encore en vie, mais j’en vois pas franchement l’intérêt. Qu’elle trancha, toute chaleur aillant quitter sa voix.
Ray n’eut pas franchement l’temps d’en rajouter plus, qu’un gonze remonté comme une pendule, attrapa la mouflette par l’col, l’accusant à leur place. L’habit n’fait p’t’être pas l’moine, mais visiblement la grolle fait son voleur !
- Mais ça va pas la tête ?! C'est pas moi !
L’asticot, s’insurgea au bout d’la ligne, pas franchement ravis d’avoir été hameçonné, attirant bien vite l’attention des autres personnes autour.
- Et c’est exactement c’que dirait un voleur coupable ! » Que n’put s’empêcher d’lâcher Ray, mettant l’feu aux poudres et s’attirant l’approbation d’quelque un autour.
Trop facile d’ramener les gens sur l’chemin qu’on voulait bien leur montrer. S’en était presque affligeant…


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Ezra-Yan Orchard
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Loup-Garou.Loup-Garou.
Puisque je vous dit que c'est un malentendu! [libre] 0ef9

Pseudo : Areigan/Sirius
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Marques de Noblesse : 58
Crédits : N.C.
Disponiblité RP : Dispo .o/

Puisque je vous dit que c'est un malentendu! [libre] Kru2

Ft. : Andy LaPlegua
Couleur paroles : #66cccc

Alignement : Neutre
Allégeance : à sa famille et ses amis proches. Sinon il reste très solitaire et indépendant.
Meute : Aucune. Il ne les porte pas particulièrement dans son cœur.
Armes : Un couteau à papillon, qu'il a tout le temps sur lui

Origines : Anglo-americano-slave. Il est natif de la ville de Gainesville en Floride.
Âge : 39 balais
Métier : Assistant mécano et éducateur canin
Résidence : En colocation dans le quartier du Fulton Street, avec son meilleur ami Toma Chatfield
Orientation : Hétéro, la plupart du temps...
Statut civil : Célibataire.
Généalogie : Il est le troisième d'une fratrie de quatre enfants.
Composé de l'aîné Shane, avec lequel ce n'est pas l'amour fou. Danny, le deuxième, qui l'a employé dans son garage. Kate (dit "K"), la cadette de 16 ans, vivant avec ses parents en Floride et adorant faire tourner ses frères en bourrique.
Anecdotes : Ray est natif de Gainesville en Floride ◙ Il a fait quelques séjours en centre de détention juvénile, en compagnie de Shane ◙ Son aîné ne l'a jamais suivit en taule, lui commence à bien connaître le concept ◙ Il a fait quelque séjour dans l'aile psychiatrique des prisons où il a séjourné, pour de violente agression à main nu contre détenu ◙ Il a fait partit d'un gang de bikers il y a quelques années en tant que Sgt at arms

Feuille de personnage
Force:
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Agilité:
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Endurance:
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