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De chasseur en chassé [Ezacharyan]
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Mar 25 Mai - 22:44


De chasseur en chassé
Ezra-Yan ft Zachary
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L’échéance d’retrouver son permis d’conduire – pour la seconde fois – approchait à grand pas. Une carotte qui l’motivait assez pour achever les réparations d’son tas d’ferraille, en sublime bête mécanique. Ça devait d’ailleurs étonner Toma d’le voir debout si tôt, pour un jour d’repos. Il en papillonna d’surprise, sa tasse d’café fumante au bord des lèvres, son regard suivant l’sillage du zombie, qui venait tout juste d’le rejoindre à sept heure trente du matin – du point d’vu du commun des mortels. Un jour à marquer d’un gyrophare et d’serpentins !
Habituellement, à c’te heure-ci, il le voyait plutôt trainer sa carcasse jusque dans son antre, l’pas plus qu’incertain et les iris aussi noires qu’une nuit sans lune. Il en oublia même qu’son kawa était bien trop chaud dans l’état. L’liquide lui brûla la gorge, faisant un retour des plus rapides dans son contenant, les yeux écarquillés. La tasse claqua brusquement contre la table, tandis qu’le blond tenta d’étouffer sa toux, puis d’noyer son feu dans son verre d’jus d’orange industriel.
Rechargeant la cafetière, Ezra-Yan haussa un sourcil face à son manège. Un sourire étira ses lèvres, puis un rire s’en échappa, son doigt maintenu en suspension depuis quelques secondes, s’abattant sur l’bouton marche d’la machine.
- « Bien fait pour ta gueule ! Qu’il lâcha d’un ton moqueur, en prenant soin d’détacher chaque mot.
Toma plaqua l’dos d’sa main sur sa bouche, essuyant sommairement l’flot d’liquide qu’sa légère toux en laissait échapper.
- Scuze moi Forest, j’suis juste en train d’me demander si j’suis pas passé dans la treizième dimension. Ou si j’ai devant moi ton jumeau angélique. Tendant un doigt vers lui, il s’recula dans sa chaise, affichant un faux air apeuré. Qui êtes-vous ? Et qu’avez-vous fait d’Ezra-Yan ?
Celui-ci l’regarda incrédule, les traits figés entre l’incompréhension et la non-envie d’réfléchir. S’murant dans un silence qu’seul la cafetière en fonction venait déranger. Visiblement, seul son corps semblait réveillé. Et encore…
- J’ai pas l’intention d’courir à travers tout l’pays et d’me laisser pousser une barbe de père noël… Qu’répondit l’loup, tout sourcil froncé, et l’ton aussi enfariné qu’sa trogne.
Cependant, c’fut au tour du blond surfeur de n’pas tout capter de suite.
- Pas ce Forest… Puis sa main s’leva pour balayer l’espace de haut en bas. Ouais, laisse tomber. Tu dois aller à PRTNO, aujourd’hui ?
Toma vit les connexions s’faire lentement dans l’esprit d’son ami. Il en rirait presque, s’il n’savait pas qu’le vrai matin n’réussissait pas vraiment à son coloc’.
- Nan… Qu’il lâcha sèchement, après avoir finalement capté. J’vais au garage, pour avancer.
- Oh… Ses doigts approchèrent la tasse, puis se ravisèrent pour son verre d’jus, ses papilles encore anesthésiées par la brûlure du café. J’vais aller mettre des chaînes sur ma voiture du coup. Parce qu’il va neiger… Qu’il ajouta en voyant ses sourcils s’froncer. Décidément, c’est pas ton truc le matin du commun des mortels. T’es sûr qu’tu veux pas attendre sept heures du matin, au coucher du soleil ?! » Qu’il lançât en s’penchant sur l’côté d’la table, alors qu’son coloc’ quittait la pièce, visiblement agacé par ses piques.
Le Orchard Ikovni est une créature susceptible, à n’jamais cueillir dés potron-minet. Enfin, à c’point-là, ça l’étonnait un peu, pour qu’il en délaisse même son café. D’habitude, Toma l’voyait attendre devant, comme un chien affamé, patientant qu’on lui accorde l’accès à sa gamelle, et préparant sa tasse avec sa rasade d’alcool routinière.
L’blond haussa les épaules, il allait revenir. Replongeant le tarin dans sa propre boisson chaude, il entendit le cliquetis des pattes de Mahiingan sur le parquet, puis son jappement caractéristique du toutou qui va avoir le droit à sa balade, puis la porte claquer.
… Le visage de Toma se figea en une expression douloureuse. Ray avait vraiment dû se lever du mauvais pied. Il n’aimerait pas être à la place du premier gonze qui lui casserait les noix.


Non. Il n’était pas particulièrement d’mauvais poil, cependant, quelque soit l’matin, il savait apprécier l’calme. Juste l’temps d’absorber sa première dose d’caféine, pour sortir du brouillard. Et c’sale emmerdeur l’sait parfaitement ! Mais non, faut toujours qu’il ouvre sa grande gueule…
Rectification, p’t être qu’il l’était maintenant, d’mauvais poil… Heureusement qu’il avait c’qui lui fallait dans son casier, pour sa dose du démarrage d’journée.
En c’début d’week-end, l’tram s’trouvait bien plus remplit d’touriste lève tôt, qu’de travailleurs. Calé contre la porte, entre valise et sac à dos, l’loup râlait intérieurement contre ces foutus saloperies d’écouteurs, retrouvés au fin fond d’sa baguenaude complètement emmêlés. C’qu’il pouvait détester ces merdes, qui lui donnait toujours l’impression d’avoir un doigt carré dans les feuilles, l’grattant jusqu’au cassis. Assis entre ses guitares, l’berger blanc leva sa truffe vers lui, la collant contre sa cuisse, à grand renfort d’coup d’truffe. Celui-ci détestait être l’objet d’autant d’attention, et depuis noël dernier, son attitude envers les inconnus avait bien changé. Comme s’il craignait d’voir surgir un monstre à tout instant. Son maître baissa sur lui un regard critique, tandis qu’l’animal s’laissait carrément couler en une masse informe entre ses guiboles, pour s’coincer entre elles et la porte, déclenchant des exclamations de mignonneries.
- « J’sais pas trop c’qui est l’plus débile, entre toi, ou ces touristes, qui s’extasient d’ta connerie. » Qu’il lâcha dans sa langue maternelle, côté serbe.
Evidemment, la bestiole n’répondit pas, ça s’saurait sinon. Il n'bitait ni l'serbe et encore moins l'anglais. Cependant, il trouva beaucoup d’intérêt pour l’écouteur qui s’balançait au-dessus d’sa caboche…

Mahiingan trottinait devant lui, les fils emmêlés entre ses crocs et définitivement inutilisable. Jouer avec lui, s’était avéré un passe-temps bien plus productif qu’de dénouer ces saloperies. Et l’berger semblait particulièrement fier d’lui. Par moment, la patience n’était pas du tout une vertu qui savait l’définir, surtout avec l’absence d’son élixir matinal dans les veines. Son poing s’referma sur ses doigts qui commençaient à trembler, jusqu’à c’qu’ils en perdent toute couleur. C’était trop demander, un putain d’café en paix …?
Cependant, l’anglo-serbe fut alerté par son compagnon à quatre pattes, qui se stoppa en dressant les étiquettes. L’maître fut attiré par les mêmes sons qui l’interpellèrent : celui d’une grille qu’on ouvre précipitamment, puis des bruits d’courses venant dans leur direction. Il n’fallut que quelques secondes d’ailleurs, pour voir débouler trois gonzes d’l’angle d’la rue.
Les deux premiers évitèrent l’duo, mais pas l’trainard qui l’bouscula. Le loup l’repoussa presque aussitôt, retroussant les narines sous l’odeur qui lui chatouilla les nasaux. L’abrutit manqua bien s’étaler sur l’bitume, se rattrapa au vol, puis repartit en claudiquant et s’tenant la cuisse.
Ray fronça les sourcils, ses mires sur la tâche rougissant sa manche. Cependant, c’qui l’fit réagir en même temps qu’son cabot, furent les aboiements qui montèrent à ses esgourdes, depuis l’entrepôt.
Sans réfléchir, le blond s’élança, ravalant en un temps record la distance qui l’séparait du garage de son frère, pour découvrir la grille forcée, ainsi qu’des traces d’sang sur l’ouverture. Il n’fit pas attention à sa chaîne, qui s’accrocha dans l’grillage, pus tira d’un coup sec pour s’libérer. Sans même daigner regarder c’qu’il avait bien put perdre. Son esprit bien trop focalisé sur le fait que c’est Rosco qu’il entendait à l’intérieur. Alors qu’il n’devait y avoir personne c’matin.

L’odeur l’assaillit comme un coup en pleine poire, alors qu’il pénétrait le hangar, faisant s’agiter sa bête. Ses iris balayèrent rapidement l’endroit, qui avait été ouvertement fouillé, pour tomber sur la silhouette d’son frère étalé sur l’sol, une mare d’sang s’étirant doucement autour d’son crâne, dans une auréole sombre. Le dogue allemand montait la garde au-dessus d’son corps inerte montrant ses crocs à qui voulait l’approcher. D’la bave écumait d’ses babines, des aboiements furieux secouant son corps, entre deux grondements réprobateurs. Le sang du cadet n’fit qu’un tour, la colère faisant bouillonner ses entrailles, ses sens glissant doucement vers des options bien plus primaires.
Secouant la tête, il s’approcha, ses iris s’plantant dans ceux d’l’animal. Son avertissement s’mua en couinement plaintif, tandis qu’il finit par quitter l’corps d’son maître, sa langue pourléchant ses babines souillées.
Les pulsations d’son palpitant grimpèrent à ses esgourdes, s’mêlant à ceux des deux bestiaux. Ray pencha la caboche d’côté, s’bouchant une écoutille, comme si ça pouvait changer grand-chose, hotta son cuir, puis sa veste, pour la bouchonner sur la plaie d’son aîné, puis le retourna face à lui, son crâne reposant contre sa cuisse. Sans réfléchir, l’dos d’sa pogne claqua contre sa joue, ramenant Danny à la réalité d’façon peu conventionnel.
- « T’aurais pu choisir l’autre côté… Que grogna douloureusement l’aîné, ouvrant difficilement les mires.
- Ça aurait pas eu l’même effet… C’est passé quoi ?
- Trois types, pas familiarisés avec l’inventaire. Son doigt désigna les vestiaires. J’ai pas vu l’connard qui fouinait là. Rosco en a chopé un. Sa main s’porta à son crâne, et il tenta d’se redresser, mais une douleur foudroyant ses côtes l’fit grimacer. Mais sinon j’vais bien… Merci d’t’en soucier. » Qu’il ajouta sarcastique.
Mais son cadet n’l’écoutait déjà plus. C’était les enfoirés qu’il avait croisé tout à l’heure. S’en était plus qu’certains : l’autre était blessé. Ses dents grincèrent l’une contre l’autre, sa mâchoire tellement crispée qu’elle en trembla presque. Mécaniquement, ses doigts extirpèrent son téléphone, composa l’numéro des urgences, puis lorsque la voix d’l’opératrice s’éleva du combiné, l’jeta à son frère.
Il n’était pas en état d’parler, ni même en état d’réfléchir. Son cerveau bouillonnait, tout comme sa rage. Elle écumait hors d’sa carcasse, suintait d’tous ses pores. La famille était quelque chose d’sacré pour lui, surtout Danny. Et quiconque touchait à sa famille n’risquait pas d’sen sortir indemne. Son grand père disait souvent : « Un œil : les deux. Une dent : toute la gueule ! ». La rancune était quelque chose d’ancré dans leur gêne. Elle pouvait être aussi froide et préparée, comme l’attaque tactique et létale d’un militaire chevronné. Comme faire l’effet d’ramassé des braises encore chaudes, brûlant la chair d’la victime et du bureau : brutale, sauvage. A l’image d’un prédateur en chasse, n’cherchant que l’besoin primal d’étancher sa faim, qui lui tordait les entrailles.
Son corps s’mit à trembler, ses poings se serrer si fort, qu’le loup sentit sa peau s’déchirer sur ses jointures blanchis. Son esprit glissa : il perdait l’contrôle. Mais il se surprit à aimer ça. Comme un fixe de cocaïne, injecté directement dans les veines. Il s’sentait puissant. Bien plus que d’habitude. Plus rien n’semblait pouvoir l’arrêter.

A côté d’lui, les chiens flairèrent l’changement qui s’opérait, puis reculèrent vers l’blessé, par instinct d’conservation. Danny, absorbé par sa conversation, n’vit rien sauf son frère qui s’éloignait. Sa main s’posa sur son bras pour l’retenir. Celui-ci s’retourna vers lui, une lueur sauvage brillant dans l’fond son regard. L’aîné perdit l’file d’la conversation, ses sourcils s’fronçant, il connaissait cette expression : il l’avait vu luire dans ses iris, le jour où il avait compris c’qui c’était passé en prison. Ray avait tout juste dix-neuf ans. Mais il y avait en plus une lueur verte, étrange, qui soulignait cette promesse de mort.
Le loup s’dégagea brutalement d’son emprise, pour planté là son frère, alors que la voix d’l’opératrice réclamait son attention.
Danny n’comprit rien à c’qui s’passait, et ses côtes en vracs ne lui permirent pas d’le suivre assez rapidement. Son frère avait en plus laissé chien et nippes en plan, celui-ci tenant dans sa gueule, c’qui lui sembla être son portefeuille…
Prenant appuis sur Rosco, il finit par raccrocher d’avec les urgences, puis prit la direction d’la porte, dans l’espoir vain d’rattraper l’autre tête de mule. S’arrêtent dans l’embrasure, quelque chose attira son attention au milieu d’la cour : une paire de pompe abandonnée, ressemblant furieusement à celles de Ray. Son regard balaya les alentours jusqu’à la grille, puis fronça les sourcils en voyant son t-shirt y pendre.
- « C’est quoi c’putain d’bordel ?!
Machinalement, ses doigts commencèrent à composer le numéro de son frère, puis il se rendit compte que c’était le téléphone qu’il cherchait à joindre, qui se trouvait dans sa main…
- Putain… »
Devon allait être ra-vi !


Le sang appel au sang. Ça avait toujours quelque chose d’fondamental, surtout chez l’plus jeune des frères. A l’image d’ces chiens qui y goûtent pour la première fois, et pour lesquels il n’y a plus rien à faire, à part l’euthanasie. Ayant échoué au test de l’intégration social, incompatible pour la vie avec ses semblables. La violence avait toujours appelé la même réponse chez lui. Qu’elle soit immédiate ou latente.
Ses plantes raclaient l’bitume à mesure qu’il avançait, détachant des lambeaux d’chair dans son sillage. L’image d’son frère étendu sur l’béton restait gravé sur sa rétine, alors qu’la piste sanglante d’ses agresseurs dansait devant son regard, comme un trait d’fumée relié à son feu. Il le suivait aussi aisément que si on l’tenait par la pogne pour l’y guider. Cette agression qui survenait quelques jours à peine après l’retour d’leur aîné. La coïncidence était trop belle… Il allait l’regretter, d’pas être mort ce soir-là. Ils allaient regretter d’l’en avoir empêché. Emprisonné comme un chien dans un chenil. Punis comme un gamin trop turbulent.
Ils allaient payer…
Son esprit s’entrechoquait à ses sens animal, qui l’submergeaient comme un raz d’marré. Les sons, les odeurs, l’gout d’sa propre salive, ses propres organes… Tout s’distordait, s’déchirait, sa conscience s’noyait dans un flot ininterrompu d’sensation. Son monde changea. Et pour la première fois en trois ans, il en avait une vague conscience. Pour une fois il n’souffrait pas. Non, il était grisé. Mieux qu’un shoot ou qu’une partie d’baise.
Sa voix mua en un grondement sourd. Sa truffe frôla le sol, sa langue lapa une tâche sombre s’délectant du gout du fer qui se posait sur ses papilles. Le même qui ornait sa patte quelques secondes plus tôt. Ils étaient là. Ils étaient proche. Leur progression ralentit par leur fardeau blessé. Une proie facile, la première dont il pourra se repaitre, peut être la seule. Non… ça ne saurait le contenter.
Les odeurs de la ville n’ont rien à voir avec celle du bayou. Elles sont acres, acides, brûlent les sens, agressent l’ouïe. Il les déteste. Une roue de caoutchouc le masque, ils sont là dans la ruelle, tente de recouvrer leur souffle. Le loup peu sentir leur peur qui s’amenuise. S’imaginent-ils vraiment avoir échappé à leur sort ?
Sa queue fouette l’espace, un grondement secoue sa cage thoracique. Les têtes des proies se tournent vers sa cachette. Au nouveau la peur suinte, l’enivre. L’animal bondit hors de sa cachette affichant des crocs impressionnants. Son regard se braque sur celui qui se tient la jambe, les autres semble comprendre : il y a toujours un agneau à sacrifier. La chasse commence. Et elle sera de courte durée.

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Ezra-Yan Orchard
Ezra-Yan Orchard
Loup-Garou.Loup-Garou.
De chasseur en chassé [Ezacharyan] 0ef9

Pseudo : Areigan/Sirius
Date d'inscription : 26/08/2019
Messages : 451
Marques de Noblesse : 58
Crédits : N.C.
Disponiblité RP : Dispo .o/

De chasseur en chassé [Ezacharyan] Kru2

Ft. : Andy LaPlegua
Couleur paroles : #66cccc

Alignement : Neutre
Allégeance : à sa famille et ses amis proches. Sinon il reste très solitaire et indépendant.
Meute : Aucune. Il ne les porte pas particulièrement dans son cœur.
Armes : Un couteau à papillon, qu'il a tout le temps sur lui

Origines : Anglo-americano-slave. Il est natif de la ville de Gainesville en Floride.
Âge : 39 balais
Métier : Assistant mécano et éducateur canin
Résidence : En colocation dans le quartier du Fulton Street, avec son meilleur ami Toma Chatfield
Orientation : Hétéro, la plupart du temps...
Statut civil : Célibataire.
Généalogie : Il est le troisième d'une fratrie de quatre enfants.
Composé de l'aîné Shane, avec lequel ce n'est pas l'amour fou. Danny, le deuxième, qui l'a employé dans son garage. Kate (dit "K"), la cadette de 16 ans, vivant avec ses parents en Floride et adorant faire tourner ses frères en bourrique.
Anecdotes : Ray est natif de Gainesville en Floride ◙ Il a fait quelques séjours en centre de détention juvénile, en compagnie de Shane ◙ Son aîné ne l'a jamais suivit en taule, lui commence à bien connaître le concept ◙ Il a fait quelque séjour dans l'aile psychiatrique des prisons où il a séjourné, pour de violente agression à main nu contre détenu ◙ Il a fait partit d'un gang de bikers il y a quelques années en tant que Sgt at arms

Feuille de personnage
Force:
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Agilité:
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Endurance:
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